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29 April 2012

J'imagine encore...

Tes mots me font que du mal, mais je suis persuadee maintenant que pour quelques instants de joie, il faut que je paie. J'imagine que c'est pareil pour tous. Pour toi, pour moi, pour les gens qui marchent pres de nous. Pour les personnes qui nous disent que se sentent bien, mais elles souffrent. C'est comme un boomerang, en effet. Je te fais mal, tu me fais mal. Je fais une erreur, tu la prenne comme un affront. Mais si, t'es parfait et je suis pleine d'imperfections. Mais non, je ne mens pas. Je ne te mens pas et je ne me mens pas. 
Je me rappelle la premiere fois que je me suis endormie dans tes bras. J'etais comme une gamine qui sentait la chaleur des bras d'un homme. Des sensations..... pueriles, en realite. On sait les deux: c'est unique ce que nous vivons lorsque nous nous touchons. Le peau.... le gout...le tout.

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